Koyi téré yo kofél bini ra aƴéni :
á , ú , í , ó , ɗ , ɓ , ŋ , ñ .
Fu min fíis bé fahaˈ fu ra fu daap ri yé na YUGUS fu ra.
Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 15 03 30 (UTC) | Message: | Depuis notre reprise d’activités le 1er octobre 2007, nous avons adopté une stratégie de recherche de financement plus offensive et nous avons bon espoir que les résultats ne sauraient tarder.
Le compte a été ouvert au nom de CGDM/Radio pour être conforme à la légalité. Les signataires du compte sont le Trésorier du CGDM et le Directeur de la Radio. Au moment de son ouverture, il fallait que ce soit au nom du porteur du projet qu’était le Comité de Gestion pour le développement de Mont Rolland. C’est ainsi qu’un nouveau compte différent de celui du CGDM. Désormais, les changements souhaités seront apportés. Il appartiendra au Comité de gestion d’en désigner les futurs signataires.
Nul n’est prophète chez soi. A tous ceux qui me soutiennent, je dis merci. J’espère que vous ne serez pas déçus. Votre serviteur est également apprécié des acteurs de développement sur le plan national comme international. Cette radio est un défi pour nous tous. Réfléchissons ensemble sur tout ce qui peut la faire marcher.
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 15 03 08 (UTC) | Message: | Yves tu me donne l’occasion de vous clarifier ce dont on t’a informé et qui ne correspond pas à la réalité. La démarche adoptée par ceux qui tentaient de me déboulonner relevait d’un esprit de dénigrement. La preuve en est qu’on ne s’est pas rencontré aux réunions que tu dis avoir assisté ; pour des réunions de si grande importance. Tu aurais du me parler avant d’aller à ces réunions, pour avoir les idées claires. C’est peut être bien de le dire publiquement. Tu as raisons de me dire qu’on est jamais au courant de tout ce qui se dit derrière soit.
Depuis le mois de septembre 2007, tout ça est devenu un secret de polichinelle, après l’avortement du coup qu’on voulait me porter et dont l’un des animateurs est quelqu’un qui vous est proche. Les animateurs du coup avaient déjà leur candidat pour me remplacer à la direction de la radio. On a voulu s’appuyer sur ce fameux bilan de l’OSIWA qui est disponible depuis le mois de mai 2007 ou d’autres arguments : « le directeur doit résider à Mont Rolland… » ; « le technicien n’est pas bien formé… » et d’autres argument fallacieux. Tout membre du Comité de gestion qui vous dit qu’il ne connaît pas le montant de la subvention de l’OSIWA n’est pas de bonne foi. Léon Lazare n’a même d’affinité avec moi. Il est de bonne foi.
Le question de mon lieu de résidence a été traité dès le départ en Comité de gestion ; ma position est sans ambages : « Si le Comité de gestion tient avoir un directeur qui se réveille tous les jours à Mont Rolland, il n’a qu’à chercher un autre ». Dakar étant le centre des affaires, c’est tout à l’avantage de la radio que j’ai un pied à Dakar et un autre à Mont Rolland, d’autant plus mes déplacements hebdomadaires sont à ma charge personnelle. Quel Maire du Sénégal ne réside pas à Dakar, en commençant par notre PCR ?
Je suis ouvert à toute proposition adéquate de réorganisation de la radio, d’autant que cela s’adresserait au Comité de Gestion qui est l’émanation des organisations communautaires de base (OCB).
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 14 02 43 (UTC) | Message: | 5 - Comme je l’ai dit plus haut, nous avons un dispositif matériel compétitif. Il nous reste à construire notre bâtiment sur notre site où est implanté notre pylône. Cen’est qu’en ce moment que les auditeurs de Dakar et Thiès pourront recevoir la radio. Quand nous émettons, ce sont les habitants de Tivigne Tanghor qui nous demandent de marquer un temps de pause qui leur permette de prendre les autres radios. Ce qui est impossible quand nous émettons. Nous avons un émetteur de 1000 watts et nous sommes passés de l’analogique au numérique. Nous nous acheminons à être une radio TV puisque Planette Finances, la Fondation Gateway et la Cellule de Suivi du Ministère des Finances viennent de sélectionner Biyen Fm, parmi les 16 radios pilotes devant animer le portail de développement du Dossier stratégique de Réduction de la Pauvreté (deuxième phase) DSRP2 et son directeur parmi les 19 Reporters médiateurs nationaux. Autant de raisons qui doivent motiver toutes les filles et tous les fils du Ndut à répondre à l’appel de Yves pour soutenir et porter haut notre enviable outil de développement.
6 - Au niveau de Biyen Fm, nous sommes très ambitieux et nous pensons déjà l’extension de notre champ d’action vers les centres multimédias communautaires, puisque le monde est devenu un village planétaire avec l’Internet. Naturellement, les bénéfices de la valeur ajoutée iraient vers ces investissements pour le développement de « l’homme » du 21ème siècle, dans différentes localités. Je rappelle que nous sommes la propriété de 62 villages.
7 – Le projet est bien protégé juridiquement contre l’appropriation personnelle de l’ensemble de son patrimoine. Le document de projet qui a une valeur juridique est paraphé par les deux Présidents de Communautés Rurales de Mont Rolland et Notto Gouye Diama.
8 – Si l’intérêt supérieur le commande, et que la radio y soit dans ses meilleurs jours, Biyen Fm peut bien être délocalisée partout dans les territoires de nos deux communautés rurales. J’espère que nous n’arriverons pas à ces solutions extrêmes qui sont entrain de se murmurer. Ce serait la honte des Mont Rollandais(es).
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 14 02 10 (UTC) | Message: | La suite, vous la connaissez. Ne pouvant continuer dans cette forme de clandestinité, j’avais demandé une autorisation hiérarchique et remonter à la surface pour jouer les rôles que vous connaissez de moi (émissions radio à la RTS, animateur culturel, Aguaine Diambogne, responsable de projet d’écomusée et enfin Biyen FM etc…)
Au moment où l’organisation semble avoir plusieurs têtes, mon rôle sera de limiter les dégâts en tant que conseiller, même si je suis toujours actif. Nous allons faire jouer les bons offices pour amener les différents acteurs à concilier leurs positions dans l’intérêt supérieur du Ndut., car l’histoire retiendra.
Je ne suis pas satisfait de la communication, comme tout le monde d’ailleurs, et je l’ai dit plus haut.
Si j’avais à reconstituer l’ANCRM… Le premier changement serait d’abord le nom. Je n’y parlerais plus de Mont Rolland. Ensuite, j’essaierais de mettre en pratique la forme d’organisation décrite plus haut. Mais je dois tout de suite préciser que le nerf de la guerre c’est l’argent, or, toutes ces formes d’organisation demandent des moyens financiers (déplacements et organisation des réunions d’installation des cellules dans les quartiers, communes et villes). Encore une fois le rôle de l’association ne doit pas s’arrêter à l’organisation du Football.
Toujours à Rombaii avec ses huit questions sur la radio.
1- Au moment du montage du projet, les sources de revenus et de viabilité étaient bien identifiées et Yves est aussi bien placé pour en parler puisqu’il fait partie de ceux qui l’ont monté : les cotisations des ASC, services, manifestations culturelles, les subventions, les dons et legs, le marketing social et les sponsoring.
2 - La radio est bien l’intégralité du projet de départ dont le montant s’élevait à 130 millions contre 24 millions de l’OSIWA, pour son montage matériel.
3- La radio n’a pas d’autres problèmes que la donne financière. La bonne ambiance de travail avait fini par convaincre le personnel de créer l’amicale du personnel de Biyen Fm. Si aujourd’hui, Biyen Fm était bien assises financièrement, vous n’auriez pas à envier aucune autre radio, de par sa puissance technique et ses potentialités humaines localisées.
4 - Encore une fois, je vous affirme que Biyen Fm connaît déjà un ancrage communautaire hors du commun. Et les populations se désolent de la situation actuelle. La technique que nous avions adopté et qui consiste à faire des antennes décentralisées dans les villages était une bonne chose, mais malheureusement on n’a pas pu la continuer. Quand je l’ai exposé à Amman en Jordanie en 2006, devant l’Assemblée Mondiale des Radios Communautaires, elle a été enregistrée comme un cas d’école pour les autres radios.
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 13 01 40 (UTC) | Message: | La suite, vous la connaissez. Ne pouvant continuer dans cette forme de clandestinité, j’avais demandé une autorisation hiérarchique et remonter à la surface pour jouer les rôles que vous connaissez de moi (émissions radio à la RTS, animateur culturel, Aguaine Diambogne, responsable de projet d’écomusée et enfin Biyen FM etc…)
Au moment où l’organisation semble avoir plusieurs têtes, mon rôle sera de limiter les dégâts en tant que conseiller, même si je suis toujours actif. Nous allons faire jouer les bons offices pour amener les différents acteurs à concilier leurs positions dans l’intérêt supérieur du Ndut., car l’histoire retiendra.
Je ne suis pas satisfait de la communication, comme tout le monde d’ailleurs, et je l’ai dit plus haut.
Si j’avais à reconstituer l’ANCRM… Le premier changement serait d’abord le nom. Je n’y parlerais plus de Mont Rolland. Ensuite, j’essaierais de mettre en pratique la forme d’organisation décrite plus haut. Mais je dois tout de suite préciser que le nerf de la guerre c’est l’argent, or, toutes ces formes d’organisation demandent des moyens financiers (déplacements et organisation des réunions d’installation des cellules dans les quartiers, communes et villes). Encore une fois le rôle de l’association ne doit pas s’arrêter à l’organisation du Football.
Toujours à Rombaii avec ses huit questions sur la radio.
1- Au moment du montage du projet, les sources de revenus et de viabilité étaient bien identifiées et Yves est aussi bien placé pour en parler puisqu’il fait partie de ceux qui l’ont monté : les cotisations des ASC, services, manifestations culturelles, les subventions, les dons et legs, le marketing social et les sponsoring.
2 - La radio est bien l’intégralité du projet de départ dont le montant s’élevait à 130 millions contre 24 millions de l’OSIWA, pour son montage matériel.
3- La radio n’a pas d’autres problèmes que la donne financière. La bonne ambiance de travail avait fini par convaincre le personnel de créer l’amicale du personnel de Biyen Fm. Si aujourd’hui, Biyen Fm était bien assises financièrement, vous n’auriez pas à envier aucune autre radio, de par sa puissance technique et ses potentialités humaines localisées.
4 - Encore une fois, je vous affirme que Biyen Fm connaît déjà un ancrage communautaire hors du commun. Et les populations se désolent de la situation actuelle. La technique que nous avions adopté et qui consiste à faire des antennes décentralisées dans les villages était une bonne chose, mais malheureusement on n’a pas pu la continuer. Quand je l’ai exposé à Amman en Jordanie en 2006, devant l’Assemblée Mondiale des Radios Communautaires, elle a été enregistrée comme un cas d’école pour les autres radios.
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 13 01 06 (UTC) | Message: | Aussi, il faut éviter les clivages religieux. Si nous résonnons ainsi, nous allons retourner 50 ans en arrière (les souvenirs de ces affrontement sanglants et désastreux de 1959, ceux de ma génération et d’avant s’en souviennent encore). Il ne faut pas réveiller les démons de la division. Mont Rolland continue de souffrir de ses conséquences (le rattachement des villages ndut aux communautés rurales de Notto Gouye Diama et de Pout), et c’est cela qui fait qu’aujourd’hui nous épiloguons sur Mont-Rolland ou Ndut. Sans la division administrative, intervenu, en 1972, personne n’aurait des inquiétudes quant à l’utilisation de ces deux noms qui, en 1971, voulaient dire la même chose. Aujourd’hui, on est indifféremment appelé « Sereer de Mont Rolland » ou « sereer du Ndut ». L’ANCRM rencontre les mêmes difficultés d’appellation, de même que les amicales des étudiants. A ces derniers, je dirais que la génération des Yves et Sérigne Ndiaye avaient trouvé la bonne formule en disant « l’Amicale des Etudiants Ndut ». Est-ce qu’il ne faudrait pas en faire de même pour l’ANCRM et transformer le M en N pour Ndut ?
Rombaii me demande le fort de l’association des années 80. Je puis affirmer que la communication passait mieux. Elle faisait appliquer des mesures, comme l’interdiction du « kaana » ou de la drogue au niveau des villages. Les Semaines culturelles connaissaient des adhésions massives. Je dois rectifier que l’AG des Martyrs de l’Ouganda s’est tenue en décembre 1984 et non en 1983. Le succès de la semaine culturelle de 1984 avait fini de convaincre « Njawoor Football », « Faam Baa Séga » et « le Mouvement de Rénovation » organisateur de cette semaine, de fusionner, pour former l’ANCRM (ancienne formule) et porter Birane Ciss à sa tête.
La capacité d’adaptation. La structuration que je viens de proposer plus haut m’a été inspirée par la forme d’organisation de l’Association Sainte Thérèse que j’observais à l’époque en tant qu’élève (j’allais même à leurs réunions). Dans chaque quartier de Dakar, l’association y avait des délégués. Leurs organisations étaient admirables.
Au moment de la formation de l’ANCRM, frappé d’incapacité de par ma profession de policier, je tenais plus ou moins le rôle d’idéologue et d’organisateur souterrain.
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 12 12 45 (UTC) | Message: | Njawoor Siis était bien un être humain et non un génie. L’histoire de sa vie est si mal connue qu’elle ressemble beaucoup plus à un grand conte qu’à une réalité. Il aurait vécu 130 années, au point qu’il se sentait inutile à la société. Son existence remonte à la première moitié du 17ème siècle, après qu’il ait vécu dans la zone du Siili.
Le vieux Pierre Laan Diene dit Baa Jugë Laan, qui est le dernier prêtre du Yuul, nous a affirmé qu’il s’est bien fait enterré vivant par des enfants, parce qu’il ne voulait plus manger du mil qu’il n’avait pas cultivé.
Ce que nous pouvons retenir de sa disparition c’est le Symbole. Son symbolisme est marqué par deux choses : Le mobil de sa disparition et le testament laissé à la postérité. Le détail pourrait être donné dans la page culturelle.
Pour ce qui est du « bilim », permettez-moi de vous clarifier qu’il n’est pas une initiative de l’ANCRM, et je rejoins Yves, quand il parle de déficit de communication.
En effet, ce sont les jeunes catholiques des Parcelles Assainies qui avaient pris l’initiative d’organiser ce bilim, sous le couvert de l’ANCRM, afin de lui venir en appoint à l’organisation des manifestations prévues pour la codification de la langue ndut.
Ceci me permet de faire la transition sur l’ANCRM.
A Dominique et Rombaii, cette association, telle que conçue sur le papier, est idéale pour le développement du Ndut ou Mont Rolland. La structuration actuelle de l’association est formidable. Il faudrait qu’il y ait une adhésion dans les différentes commissions. Ce qu’il faudrait y ajouter c’est un schéma directeur, avec des cellules dans les différents quartiers ou communes de Dakar et environs, comme Parcelles Assainies, Guediawaye, Keur Massar, Pikine et autres. Ce qui la rendra plus dynamique sur le plan organisationnel. L’ANCRM ne doit pas se résumer au Football qui n’est qu’une section dans la commission sportive. C’est le football qui est en train d’empoisonner l’association.
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Nom: | Thomas Gana Diouf | E-mail: | diougana hotmail.com | Date: | 28/07/2008, 12 12 25 (UTC) | Message: |
Après lecture des différentes interventions dans le site, je me suis senti comblé. Comblé par ces marques de sympathie, mais aussi de critiques objectives.
Chers forumistes, j’ai tellement à dire à cette jeunesse du Ndut avide de connaissances et qui ignore beaucoup de l’existant et du passé récent de son terroir.
J’ai sérié les questions en trois groupes :
– Sur l’histoire et la culture ndut ;
– Sur l’ANCRM
– Sur la radio Biyen Fm.
Rassurez-vous, j’essaierai de répondre à toute les questions ; celle que vous posez présentement ou que vous aurez à poser, car je me considère comme un invité permanent du Forum. Ma lenteur à vous répondre est due au fait que je n’ai pas à ma disposition une connexion internet.
A Théo, je dis merci, pour le courage de ses idées. Je t’ai admiré sans te connaître, à la suite de ton célèbre article sur le bassin de rétention qui rappelle bien de mauvais souvenirs. Des ndut de la diaspora ont cherché à te connaître, en me posant la question.
En ce qui concerne mes manuscrits, je suis bien d’accord avec toi que, seule, leur publication peut me donner une autorité scientique ; cela ne m’enlève en rien, cependant, le titre de « chercheur en tradition orale ». Nous n’allons pas nous attarder sur des questions de sémantique, quant au sens du mot chercheur.
Ce sont les sereer du ndut qui ont donné leur nom au terroir qu’ils habitent. Cependant, ce sont les autres qui leur ont donné ce nom, à cause du nombre impressionnant de huttes qu’ils habitaient dans le site de Tivaouane qui signifie « me saañ teewin da », qu’ils ont fondée au 16ème siècle et d’où, d’ailleurs, l’entité ndut s’est distinguée.
Le mot « Ndut » est une déformation de « dut » qui signifie hutte. En effet, cette deuxième vague de migration ndut s’était installée à Tivaouane après qu’elle ait été contrainte de quitter « mbul », capitale du Kayoor, par le fils de Déthiéfou Ndiogou, premier Damel, Amari Ngoné Sobel Fall. A l’époque, le chef de ces Ndut s’appelait Sa Ngëeni Puy, le fondateur de Fouloune. Sa tombe se trouve à Tivigne Diassa.
Je réfute bien l’appellation de « cangin » que les linguistes veulent nous donner. Cette classification est bien de Walter Pichl que le défunt Président LS Senghor avait bien demandé de nous distinguer du groupe singandoum. Cette distinction pourrait bien s’appliquer au « Noon », puisque c’est dérivé du nom de Thiès « Caañak », mais pas aux « ndut »qui, à l’instar des « oll » porte le nom de « mantee » qui veut dire « je dis ».
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Nom: | Serigne Ndiaye | E-mail: | serigne.ndiaye gmail.com | Date: | 26/07/2008, 22 10 41 (UTC) | Message: | Cher frères et soeurs ndut bonsoir,
Je me réjouis de l’idée que l’initiateur de ce forum a eue pour nous offrir un cadre de réflexions sur les problèmes auxquels notre terroir fait face. Merci Yves ! Je partage l’avis de ce dernier sur la nécessité de convoquer une réunion entre l’ancien bureau et le bureau qui a été nouvellement monté. Sans parti pris, ayons le courage d’avouer que les choses piétinent depuis quelques temps. Face à cette situation certains ont senti la nécessité de réagir en convoquant une assemblée qui, à son tour, a mis en place un comité directeur. Il peut y avoir vice de forme dans la manière dont cette réunion a été convoquée mais les gens ne peuvent pas non plus laisser le statu quo perdurer et s’embourber dans l’impasse.
Quelque soit le côté où l’on se situe, je pense très sincèrement que nous sommes tous animés d’une seule et même volonté : celle de mettre nos compétences au service de notre communauté. Pour cette raison, il ne devrait pas y avoir de tiraillements entre nous. Au contraire, nous devons tous tirer dans la même direction, prendre du recul ou de la hauteur et savoir critiquer ou faire de l’autocritique quand il le faut afin d’avancer. Nous n’avons franchement pas besoin de ces petites querelles qui ne profitent à personne.
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Nom: | Rombaii | Date: | 26/07/2008, 22 10 25 (UTC) | Message: | Merci à Yves d'avoir redonné au forum sa consistance d'avant. Tantôt on se perd dans le tiraillement mais je crois que le débat est recentré et que Messieurs André FAYE et Mor MBENGE recevront l'invitation favorablement.
Si nous ne voulons pas tourner en rond, voilà un processus de sortie de crise. Que les interpelés sortent de leur mutisme car la présidence de l'ANCRM n'est pas un poste diplomatique, qu'ils mettent sur pied les assises de la clarification et du nouveau départ.
Merci |
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